Convoque son Frère pour lui annoncer une nouvelle

* Louis sourit quand même lorsque Monsieur Son Frère entra. Il lui fit signe d'approcher et de prendre place devant lui. Il savait que Monsieur ne serait pas dupe face au repas que Louis avait fit venir pour lui. Il avait quand même l'intention de le caresser dans le sens du poil. Il était quand même heureux de voir Philippe. Voilà déja quelques temps qu'il s'était perdu de vue .*

- Monsieur Mon Frère, je suis bien aise de vous voir. Il se trouve que j'ai à vous parler .

* Il avait prit quand même un ton un peu plus solennel ce qui n'était pas spécialement bon signe pour Philippe qui constaterait que c'était pour parler de quelque chose de sérieux.*

- Il se trouve que je vous ai trouvé un parti et que si je vous ai fait venir ici c'est dans le but de préparer votre marige. Votre futur Femme est également à Versailles au moment ou je m'entretiens avec vous.

* Louis avait tout organiser. Bien sûr, il l'avait fait dans le dos de Philippe mais il était le Roy et il n'avait nullement besoin de se justifier. *

- Il est temps d'assumer votre rôle Mon Frère.

* Et voilà, ce qui devait arrriver arriva. Philippe fit son fameux jeu de comédien. Oh mais comme il était doué ! Si à cette époque les prix exiatait, Philippe l'aurait reçu sans souci. Louis resta sans émotion face aux larmes de Monsieur Son Frère. Une punition ? Mais bien sûr que non voyons. C'est juste qu'il devait se marier et il n'avait rien à dire. *

- Monsieur Mon frère, je vous prie de cesser immédiatement ses larmes qui sont complètement inutile face à cette situation. Il se trouve que vous n'avez pas eu de fils de votre premier mariage et que votre première femme est morte. Il faut donc que vous y remédier et la seul solution et cell du remariage justement.

* Louis n'allait pas lacher l'affaire. Il fallait absolument que Monsieur ait un fils et ce même si Louis devrait l'enfermer dans la même pièce que sa futur femme. Rien mais absolument rien ni personne ne le ferait changer d'avis et il serait même prêt à exiler les mignons de Monsieur pour que celui-ci se plie à cette exigence. *

- Je vous prierais de vous comporter en adulte et non pas en enfant car il s trouve que vous n'en êtes plus un.

* Louis n'en revenait pas ! Monsieur Son Frère avait le culot de lui tenir tête? Louis enrageait, Monsieur osait lui donner un ordre en disant qu'il refusait ce mariage . Louis sentit la colère le dominer. Il se retint de ne ps taer son poingt sur la table. Il avait apprit à se contenir. *

- Monsieur Mon Frère je ne vous demande pas votre avis. Ce mariage est un ordre et si vous refusez ou je vous y ferais emmener de force, ou je ferais bannir un de vos mignons .

* Louis savait lui aussi appuyer là ou ça faisait mal. Il n'arrivait pas à comprendre la réaction de son Frère. En fait il s'en fichait complètement. Le Roy avait parler et si il devrait prendre des mesures draquoniennes il le ferait .*

- Ne m'obligez pas à en arriver la Philippe, vous savez que j'en suis plus que capable.

* Louis le regardait. Son Frère était plus que démolit face à lui mais Louis resta sans émotions face à son Frère. Il ne voulait pas en arriver là mais Philippe ne lui laissait pas le choix. D'ailleur, il devait vraiment perdre patience car il l'avait appeler Son Frère par son prénom chose qu'il faisait très rarement.*

- Je vous ferais remarquer que je n'ai pas eu le choix que d'accepeter de me marier et je n'ai pas réagt de votre manière alors que j'étais éprit de quelqu'un d'autre l'époque . Je sais que vous ne menaceriez jamais Madame de Montespan mais je ne suis pas vous et vous ne me laissez malheureusement pas le choix. Quand à la mort de notre feu Mère, je ne vous permet pas de me parler ainsi. Il se trouve que je l'ai toujours appréciée et estimée, je vous interdit donc de me dir de telle chose. Si je n'ai montré aucune émotions, c'était uniquement en public comme je suis censé le faire car comme vous le dîtes si bien, je suis un être humain.

* Il ne réagit même pas lorsqu Philippe fit tut voler sur la table, il s'y attendait à dire vrai mais il ne le montra pas. La colère dont faisait preuve Philippe, n'allait pas arranger les choses bien au contraire. *

- Je vous demande donc de vous calmez tout de suite, ma décision est irévocable et sans appel. Je ne veux donc plus revenir sur le sujet.

* Louis savait que Philippe n'avait aucun pouvoir et que à part une grande colère il ne ferait pas grand chose de plus. Ce mariage devait absolument avoir lieu. Il s'y habituerait de toute manière et puis lorsqu Philippe aurait son fils dans ses bras tout serait sûrement différent *

* Louis avait une sérieuse envie de giffler Monsieur Son Frère pour lui remettre les idées en place. Il se souvenait de tous les bons moments u'il avait passé avec sa Feu Mère lorsqu'il était petit. Il se souvenait de leurs jeux avec les Dames de Compagnies, des nombreux bains qu'ils avaient prit ensemble. Il savait que si sa Feu Mère s'était montrée sévère et intrensigante avec lui s'était pour son bien . Il est vrai que sur le moment il ne l'avait pas comprit et s'était ressenti rejeté ce qui lui avait brisé le coeur car il aimait sa Mère cmme un fils. Monsieur parlait plus de rumeurs que de fait qui était fondée car il était plus petit que Louis à l'époque et il était par consequent impossible quil se souvienne si précisement de ce qui aurait pu se passer. Louis le regarda toujours de la même manière. Il posa son menton sur sa main et resta silencieux quelques instants.*

- Monsieur si notre Feu Mère me traitait ainsi, ce n'était pas par mauvaise intention bien au contraire. Il est vrai que lorsqu j'étais plus jeune , j'étais très remonté contre notre Feu Mère car elle me tenait en laisse et me laissait très peu de liberté. Mais je n'ai jamais au grand Dieu jamais haït notre Feu Mère.

* Il savait que Philippe ne voulait pas se marier mais Louis n'arrivait pas à lui faire comprendre que si il faisait ça, ce n'était pas pour lui nuire mais uniquement parce qu'il se trouvait dans l'obligation de le faire. Le protocole l'exigeait. *

- Quand à votre mariage, comme je vous l'ai déj dit, et vous savez à quel point j'ai horreur de me faire répéter, vus n'avez eu que des filles et il vous faut UN héritier. Voilà pour quelle raison est ce que vous devez vous remarier. Quand à votre surnom, je vous connais ici comme Monsieur le Frère du Roy mais aussi et malheureusement pour vous, la folle le sodomite ou le travesti ou encore le bardache ce qui personnellement met assez douloureux. Libre à vous de me croire ou non.

* Au fond de lui, Louis avait mal au coeur de voir son Frère dans un tel état. Celui-ci était au bord du malaise et Louis le voyait bien mais il n'avait pas le choix et devait absolument faire comprendre ce mariage à Phillipe. Il allait très certainement demander à Athénaïs d'aller lui parler. Il était plus que certain qu'elle reussirait à le convaincre car ils avaient une très grande complicité.*

* Louis vit que Monsieur avait vraiment mauvaise mine. Il ne savait pas si s'était le choc de la nouvelle ou si il y avait autre chose mais Louis prit quand même peur. Malgré le fait que certaine fois ils s'entendaient comme chien et chat, Louis tenait énormément à Monsieur . Il le regarda et vit qu'il avait quand même assez palit.*

-Désirez vous que je fasse venir un médecin Monsieur Mon Frère ? Vous avez vraiment l'air mal en point.

* Louis pensa assitôt à l'affaire des Poisons. Est ce que quelqu'un avait empoisonner Monsieur ? Pour quelle raison ? Qui aurait pu faire une tel chose ? Il ne le savait pas mais si il s'agissait vraiment d'un empoisonement le temps était compté . Il regarda Monsieur Son Frère. Son visage était blanc et il tremblait de partout.*

- Je me fais du souci pour vous.

* Il se leva et alla vers lui. Il mit la main sur le front de Monsieur et constata qu il avait de la fièvre. Il fallait absolument qu'un médecin prenne soin de lui et s'en tarder *

* Louis se leva d'un bon et courrut vers Monsieur Son Frère. Il appela de l'aide et des valets vinrent aussitôt dans le bureau du Souverrain. Il fit également appeler un médecin. Celui-ci suggera de bouger Philippe dans un lieu plus apte à la situation. On fit donc porter Monsieur le Frère du Roi dans ses appartements qu'il avait à Versailles. Mais Louis les fit passer par un passage secret ne voulant pas ameuter tous les courtisans et provoquer ainsi une panique général. Il n'avait pas besoin de cela. Les valets déposèrent Monsieur sur le lit et le médecin accompagné de ses assistants, commencèrent pas retirer la veste de Phillipe. *

* Le Roy attendit dehors, il ne supportait pas beaucoup les médecins. Il commença à tourner en rond dans la pièces. De très mauvais souvenirs commenaient à remonter à la surface. Il revoyait sa feu Mère se faire opérer le sein ou plutôt se le faire découper à vif avec une éponge dans la bouce pour éviter de trop hurler. Mais Louis s'était bouché les oreilles afin d'entendre le moins possile les cris de sa feu Mère. Il revint à la réalité et remarqua qu'il avait ses mains sur ses oreilles exactement comme ce jour-là. Il les retira aussitôt. Non Monsieur ne pouvait pas mourir !! Il se remit à faire les cents pas se demandant quel mal pouvait bien ronger Monsieur Son Frère. Les médecins avaient plus qu'intérêt à lui donné une explication plus que précise et sans tourner autour du pot comme ils savaient si bien le faire.*