Mais ?! Nous ne nous connaissons pas !
Présentez-vous comme il se doit pour accéder à la Cour du Roi Soleil !| Qui êtes-vous donc, étranger ? |
Nom complet : Louis-Auguste de Bourbon
Titre de noblesse : Marquis
Fonction :Aucune pour le moment
Âge (n'oubliez pas que l'action débute en 1670 !) : 1 ans
Caractère (minimum 3 lignes) : Eh bien pour le moment il n'y a rien à dire-. Louis-Auguste a tout juste un an pour le moment. C'est encore un enfant qui découvre la vie et les personnes qui l'entourent. Il est vrai qu'il est quand même un peu capricieux, peut être à t-il hérité du caractère de son père et très certainement de sa mère. Il aime que l'on soit attentif à lui et à ses besoins, même si pour le moment ils ne sont pas très compliqués mais quand même nombreux. Il pleure pour qu'on le prenne dans les bras ou pour obtenir quelque chose. Mais il pleure aussi de souffrance, sa jambe lui faisant souffrir le martyr depuis sa naissance. Pourquoi Dieu s'acharne-t-il sur lui ? Lui qui n'a rien demandé à personne. C'est quand même un enfant heureux de vivre quand la douleur ne le terrasse pas. Il est brillant et adore faire des découvertes. Il a la chance de voir le monde avec des yeux d'enfants.
Description physique :(minimum 3 lignes) Louis-Augute n'est pas un bébé plus grand ou plus petit que la moyenne. Il est de bonne taille et possède un bon poids. Il a sans nul doute les yeux et le regard de son père mais aussi le bas de visage de sa mère. D'après ses cheveux qui commencent un peu à pousser, ils sont plutôt foncés. Pour le moment, il a des dents qui commencent à se montrer et qui on tendance à lui faire mal parfois. Comme si sa jambe ne suffisait pas.
Votre histoire jusqu'à maintenant (1670) (minimum 5 lignes): Dès sa naissance, (le 31 mars 1670) il fut pris en charge par la veuve Scarron, future marquise de Maintenon, qui s’occupait déjà de son ainé qui mourut en 1672. L’enfant nait infirme et boitera toute sa vie (d’où le sobriquet « Gambillard » qui lui sera attribué). Rapidement, il devint son préféré. Sa protection lui fut d’un grand secours pendant le règne de Louis XIV. Il fut légitimé en décembre 1673. En janvier 1674, il déménagea à la Cour avec ses frères et sa gouvernante.
La même année, il reçut la charge de colonel général des Suisses et Grisons. De tempérament pieux et effacé, il étudia avec beaucoup de soin. En revanche, malgré les efforts du maréchal de Luxembourg, il comprenait médiocrement la science militaire et se révéla ensuite piètre officier.
En 1681, la Grande Mademoiselle, voulant épouser son amant le duc de Lauzun, victime d’un chantage mené par Mme de Maintenon, lui céda la principauté de Dombes et le comté d’Eu. En 1682, il fut promu gouverneur du Languedoc. En 1686, il devint duc d’Aumale et chevalier de l'ordre du Saint-Esprit, la plus haute distinction de la Royauté. En 1688, il fut promu par le roi général des galères, puis lieutenant général. Il a alors 18 ans, souhaite prendre femme, mais le roi soucieux de ne pas voir ses enfants illégitimes faire souche refuse pendant un certain temps
En 1694, le roi accorda à ses fils légitimés un rang intermédiaire entre les princes du sang et les ducs et pairs, ce qui déplût fortement à ses derniers. Les deux princes pouvaient - entre autres - être admis au Parlement de Paris à l'âge de 20 ans quand les princes du sang le pouvaient à 15 et les ducs seulement à 25.
Le duc du Maine disposait du privilège des « grandes entrées », qui permettait d’assister au « petit lever » du roi. Au cours du règne de son père, il manœuvra entre les différents groupes d’influence, et se montra proche de la cabale des seigneurs et de celle de Meudon. Il arrangea le mariage du duc de Vendôme avec Mademoiselle d’Enghien, sa belle-sœur (1710).
En juillet 1714, Louis XIV signa un édit l’appelant, tout comme son frère le comte de Toulouse, ainsi que leur descendance, à la succession royale en cas de vacance du trône. Le duc du Maine et les autres bâtards légitimés devaient prendre place au dernier rang et être appelés à régner en cas de disparition de tous les princes du sang légitimes. Le 23 juillet, une déclaration royale décréta que les légitimés jouiraient désormais de la qualité de princes du sang. Saint-Simon lui-même, pourtant adversaire déclaré du duc du Maine, vint lui faire ses compliments au lendemain de l’enregistrement par le Parlement de Paris.
Sur les instances de son ambitieuse épouse et de la marquise de Maintenon, le duc du Maine pressa alors le roi de rédiger un testament affermissant ces décisions, et écartant le duc d’Orléans de la Régence. Le 26 août, le roi remit son testament au premier président et au procureur général du Parlement. Il déclara ensuite au duc du Maine :
« Vous l’avez voulu, mais sachez que quelque grand que je vous fasse et que vous soyez de mon vivant, vous n’êtes rien après moi, et c’est à vous après à faire valoir ce que j’ai fait pour vous, si vous le pouvez. »
Le 22 août, Louis XIV demanda au duc du Maine de le remplacer lors d’une revue de la gendarmerie, confirmant ainsi la disgrâce de son neveu Orléans.
| Un petit questionnaire sur vous, derrière l'écran |Prénom ou pseudonyme : Elodie (chonchon)
Âge (facultatif): 22 ans
Localisation: Auvergne
Passions: euh équitation, sortie ciné et tout, moto etc
Pourquoi ce rôle ? : je sais pas c'est une question que je me suis pas posé mdr
Comment avez-vous connu le forum ? par Joanne
Multicompte ? Si oui lequel ? : non
Autres remarques : ..........
Avatar : un pti bébé
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